De nombreux articles ont paru dans la presse sous l’égide de l’AFSSAPS (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) et de l’Ordre Nationale des Médecins pour mettre en garde les futures mamans contre l’échographie souvenir, l’échographie affective, l’échographie spectacle ou artistique. Peu importe l’adjectif qui qualifie ces échographies...

Il s’agit avant tout pour les futurs parents d’une rencontre émouvante et joyeuse avec leur bébé. Bien sûr, les échographies médicales obligatoires pendant la grossesse permettent de visualiser leur futur enfant mais il s’agit d’images en 2D difficiles à décrypter et comme le dit le Dr. Roger Bessis, Président du Collège français d’échographie fœtale « il ne faut pas s’attendre à ce que le médecin soit bavard, il doit se concentrer sur les points à vérifier » (Hors série Bébé - Femme actuelle – Février 2005).

Alors, pourquoi condamner ces sociétés qui offrent aux futurs parents la possibilité de rencontrer leur bébé, de le voir évoluer dans son univers. De nombreuses mamans sont très émues lorsqu’elles découvrent leur bébé, les traits de son visage («il a le nez de son père», «il ressemble à sa sœur comme deux gouttes d’eau »), la position dans laquelle il se trouve («il a les pieds au niveau de son front, jamais je n’aurais imaginé qu’il pouvait être aussi souple»), ou les mimiques qu’il fait («il baille, c’est extraordinaire», «il tire la langue», «il se frotte les yeux»…). « L’échographie crée chez la mère un attachement encore plus profond à leur bébé » affirme Marie Haddou, psychologue clinicienne à l’hôpital Sainte-Anne à Paris (magazine Neuf mois – mai 2005).

Peut-on véritablement évoquer le risque des ultrasons quand ceux-ci sont utilisés par le corps médical depuis plus de 30 ans sans aucun incident rapporté ? Peut-on aller à l’encontre d’un médecin, Professeur des universités, spécialisé en imagerie médicale pédiatrique quand celui-ci affirme «je ne suis pas hostile à ce style de pratique dans la mesure où ce n’est pas agressif vis-à-vis du fœtus. Ce que veulent les gens, c’est voir le visage du bébé, ses pieds et ses mains. C’est une question d’évolution des mœurs mais d’un point de vue médical, je ne vois pas d’inconvénient » (Lyon Figaro – mars 2005).

L’AFFSAP s’est prononcée contre l’échographie spectacle. Pour quelles raisons ?

Le risque médical, il n’a jamais été démontré. « Quel médecin explique à sa patiente le danger hypothétique des ultrasons avant de commencer son examen ? Si ceux-ci sont dangereux ou si leurs effets à long terme sont méconnus ou incertains, le devoir d’information du médecin serait de le rappeler à chaque examen échographique » (loi Kouchner et code de la déontologie) (Dr. J. Thévenot – Gynécologue – obstétricien, Medito.com – octobre 2004)

Le risque de confusion entre les échographies médicales et les échographies spectacles. Difficile à croire. Toutes les sociétés qui pratiquent l’échographie spectacle précisent en clair leurs attributions.

Le risque de la découverte fortuite d’une anomalie. Fort peu probable. Nous ne sommes que des photographes sans aucune compétence diagnostique.
Le risque psychologique de voir son bébé en 3D. Après plus de 9 mois de pratique en échographie 3D non médicale et de nombreux couples rencontrés, je n’ai vu que du bonheur dans les yeux des futurs parents.

Alors pourquoi décourager les futures mamans qui veulent découvrir leur bébé en 3D, établir un contact visuel avec lui, et garder un souvenir à jamais gravé dans les mémoires.

L’échographie souvenir a pour objectif d’offrir un grand moment de bonheur aux futurs parents et à leurs proches en leur garantissant des prestations de qualité pour les satisfaire au mieux.


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